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Dernières Contributions La singularité post-hélénitique Au sixième siècle avant Jésus-Christ a commencé à se développer la "pensée grecque" qui est arrivée à maturation avec Aristote en réponse à Platon, dans la filliation commune de Socrates. Vue d'ici, et de façon trés XXIè siècle : Socrates était anti-nouvelles technologies (l'écriture). Ecrire figeait la pensée humaine, qu'il savait si souple et pleine de resources qu'elle croyaient absente. Platon expliqué, que ce n'était pas la pensée humaine qui était inscrite dans la pièrre ou sur les papyrus, mais les "idées" et que par principe ces idées étaient par elles-mêmes. Aristote acompris qu'en fait les idées ainsi inscrites vivaient entre elles et que la voix, la pierre, le papier en portaient la vie (logique) et nous étions capables de faire émerger d'autres idées (le syllogisme) de la rencontre de leurs discours. Pendant 25 siècles nous avons poursuivi, ou nous somes opposés, ou avons développé sa pensée selon la méthode dialectique de Platon : une idée rencontre une idée et elles se racontent des histoires d'idées. Le 22 janvier 1889 ils se sont réveillés dans un nouvel univers. La veille un événnement singulier avait eu lieu, tellement singulier que l'on peut le qualifier de singularité, un point de non retour pour l'humanité et sa pensée. Le Roi de Norvège avait courronné Henri Poincaré comme lauréat du prix de son anniversaire. Pourquoi est-ce si important ? Parce que le prix était à qui démontrerait la stabilité de l'Univers selon Newton. Ceci mettrait un point final à la science, consacrant le scientisme. Or Poincaré avait démontré que si on calculait le mouvement de la Terre par rapport au Soleil, Newton était parfait. MAIS que si on ajoutait la Lune, cela ne marchait plus. Nous croyions tout savoir : nous avions appris que nous ne savions pas grand-chose. (la suite au prochain blog)		Références Présentation courante Archives