Cinquième âge

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L'apport particulier de M. Henri MORFIN, co-fondateur de GHM, a été très tôt de se préoccuper de l'optimisation des conditions de vie du troisième âge, comme un âge actif, puis - une fois qu'il y est parvenu - de ce que l'on peut appeler, à considérer ce qu'il a mis en place et ce à quoi il a été confronté du fait de la nouveauté complémentaire et de sa vision multiscendante de la généalogie et de son schéma successoral d’intérêt intergénérationnel fondé sur la loi récente et la jurisprudence à faire naître par les réticences modératrices de certains de ses ayants droit - le "cinquième âge".


La lecture des dispositions qu'il a prise avec son épouse, montre une vision de la vie sociale, dans l'écoulement du temps mais aussi des opportunités de la vie, où cinq âges s'entrecroisent, dans la société tout autant que la vie de chacun. Ce sont ceux :

  • le premier, celui de la formation : c'est l'investissement par l'apprentissage personnel et de groupe. Il peut se poursuivre tout au long de la vie. Il se fonde sur l'aide d'autrui, du livre, de l'expérience et maintenant de leurs synthèses multiples assistées par l'ordinateur.
  • le second, celui de la production : la formation est rentabilisée par la rémunération de prises d'obligations de résultat. C'est le domaine de la monnaie comme métrique du travail ainsi assumé de l'homme.
  • le troisième, celui de la contribution : c'est celui de l'apport de l'expérience acquise dans la philia sociale, soit pour aider à améliorer les choses pour le cas échéant en bénéficier (c'est aussi l'engagement politique de bien commun), soit pour en faire l'apport à son cinquième âge.
  • le quatrième, celui de la protection : c'est celui du retour du travail et de la contribution, de l'accueil des autres à la sagesse et l'entraide de tous à la personne, facteur de la solidité et de la durabilité du lien social.
  • le cinquième, celui de la continuation intergénérationnelle par pacte légataire, ayants droit immédiats et à venir, à travers le développement et la donation des parts d'une société patrimoniale d'intérêt commun.